Ennéagramme et postures corporelles GDS
Hypothèse de corrélation
Claire D.
Godelieve Denys-Struyf (1931‑2009) était une portraitiste belge. À 28 ans, elle se forme à la kinésithérapie, puis à l’ostéopathie. Son sens de l’observation et de l’écoute l’a incité à adapter ses soins aux personnes plutôt qu’à leurs symptômes. Dans les années 1960-70, elle a mis au point sa propre palette d’outils thérapeutiques, basée sur l’identification de cinq chaînes musculaires. Ses observations et ses dessins de centaines de patient lui ont permis de décrire des typologies de postures, qui résultent de la mise en tension excessive de chacune de ces chaînes musculaires. Elle a également décrit une attitude psychologique associée à chaque posture. La méthode dite des chaînes GDS, en référence au nom de son auteur, est enseignée largement aujourd’hui, auprès de kinésithérapeutes, ostéopathes, podologues et autres professionnels des techniques corporelles.
Alan Sheets et Siska Tovey étaient respectivement praticiens Feldenkrais et Aston-Patterning en Californie, quand en 1993 ils montent des groupes de recherche pour comprendre les forces des différents types de l’ennéagramme. En 1994, inspirés par les danses sacrées sur le symbole de l’ennéagramme, issues du film Rencontre avec des hommes remarquables qui retrace la vie de Georges Gurdjieff, ils décident d’axer leurs recherches sur le lien entre le corps, le mouvement et les forces de chaque ennéatype. Alan Sheets, par ailleurs ceinture noire d’Aïkido, découvre alors pour chaque ennéatype une position de force bien spécifique dans laquelle la personne résiste parfaitement à une pression avec un minimum d’effort.
Il est intéressant de constater que les travaux de Godelieve Denys-Struyf d’une part, et d’Alan Sheets et Siska Tovey d’autre part, se rapprochent. Ce rapprochement ainsi que mes observations personnelles m’ont conduit à émettre une hypothèse sur les corrélations entre les typologies posturales GDS et les neuf ennéatypes. N’étant pas professionnelle d’anatomie ou de techniques corporelles, je ne suis pas en capacité de la valider. J’espère que cet article suscitera l’intérêt de personnes compétentes en la matière, pour que le sujet puisse être approfondi.
Trois centres, trois chaînes de la personnalité
Dans le modèle de l’ennéagramme comme dans celui des typologies GDS, on retrouve chez les individus, trois grandes préférences de fonctionnement. Il est possible de les associer facilement, de la manière suivante :
Trois centres en ennéagramme |
Trois chaînes de la personnalité |
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Le centre instinctif nous permet d’agir |
La typologie PA est reliée à la réceptivité |
Le centre émotionnel nous permet de vivre des émotions et de s’intéresser aux émotions des autres |
La typologie AM est reliée à l’affectivité |
Le centre mental nous permet de penser, de réfléchir et d’analyser |
La typologie PM est reliée à la cérébralité |
L’attitude en PM, propulsée vers l’avant
Pour Godelieve Denys-Struyf, le sujet dit PM met en tension les muscles de sa chaîne postéro-médiane (c’est-à-dire à l’arrière et au centre du corps). De ce fait, il est projeté vers l’avant. Son comportement le pousse vers le futur. Elle relie ce morphotype à la cérébralité. Cette attitude est associée au besoin d’être utile, au besoin d’action et de performance.
Marie Hurtois, kinésithérapeute, psychomotricienne et enseignante en anatomie interprète l’attitude en PM ainsi : « PM va de l’avant, se projette vers l’avenir. Elle analyse, dissèque, détaille, tranche, fait face, affronte. Elle exprime tout ce qui concerne le rationnel, la pensée discursive. En excès, ce personnage devient pinailleur, rationaliste froid, raisonneur jusqu’à l’extrême⁶. »
Par ailleurs, la projection du haut du corps vers l’avant se retrouve dans les positions de force associées aux deux ennéatypes préférant le centre mental, décrites par Alan Sheets et Siska Tovey :
- Dans sa position de force, l’ennéatype 5 place sa tête et son tronc en avant ;
- Dans sa position de force, l’ennéatype 7 a le dos basculé en avant.
Position de force de l’ennéatype 5 |
Position de force de l’ennéatype 7 |
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L’hypothèse est donc que les ennéatypes 5 et 7 qui ont une préférence pour le centre mental, ont une posture de type PM.
L’attitude en AM, enroulée et basculée en arrière
Pour Godelieve Denys-Struyf, le sujet dit AM est comme appuyé en arrière, il se retient de la chute par la mise en tension des muscles de la chaîne antéro-médiane (c’est-à-dire à l’avant et au centre du corps). Cette attitude enroulée et basculée en arrière est associée à l’affectivité, au besoin d’être aimé.
À l’inverse des ennéatypes 5 et 7, c’est le ventre et non la tête qui s’avance dans les positions de force des types 2 et 4, ayant une préférence pour le centre émotionnel :
- La position de force de l’ennéatype 2 est décrite par un plexus solaire poussé et tendu ;
- Dans sa position de force, l’ennéatype 4 a le bas du corps légèrement en avant.
Position de force de l’ennéatype 2 |
Position de force de l’ennéatype 4 |
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L’attitude en PA, en érection verticale permanente
La typologie dite PA correspond pour Godelieve Denys-Struyf à une attitude en érection verticale permanente. Elle l’associe à un comportement caractérisé par une grande réceptivité vis-à-vis du monde environnant et une grande intuition. Ces sujets sont pour elle naturellement tournés vers la spiritualité. Cette posture correspond à une hyperactivité permanente des enchaînements musculo-aponévrotiques postéro-antérieurs (c’est-à-dire qui vont de l’arrière vers l’avant) des muscles profonds du tronc, qui génère une tension qui se propage du haut vers le bas du corps.
La droiture du corps se retrouve dans les positions de force associées aux ennéatypes 1 et 8, qui préfèrent le centre instinctif :
- Dans sa position de force, l’ennéatype 1 étire la nuque vers le haut en élevant légèrement le menton ;
- Pour l’ennéatype 8, le corps est en position verticale, avec le sacrum incliné vers l’avant et le bas du dos aplati.
Position de force de l’ennéatype 1 |
Position de force de l’ennéatype 8 |
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L’hypothèse est donc que les types 1 et 8 qui ont une préférence pour le centre instinctif, ont une posture de type PA.
Attitude en AP et PA-AP
Godelieve Denys-Struyf décrit également une attitude en « AP ». Elle ne résulte pas d’une hyperactivité de la chaîne antéro-postérieure, mais d’une carence d’activité des autres structures.
Le sujet AP est décrit comme affaissé, dans une attitude asthénique reflétant une certaine démotivation. Cette attitude pourrait être associée à la répression du centre instinctif, donc aux ennéatypes 2 mu, 3 mu, 4 alpha, 5 alpha, 6 alpha et 7 mu.
L’attitude PA-AP, quant à elle, correspond à une attitude érigée et hyperlordosée, qui est associée à un comportement impulsif. Je n’ai pas relié cette attitude à un ennéatype. Une hypothèse serait de l’associer aux types qui ont le centre instinctif en support, à savoir les ennéatypes 2 alpha, 4 mu, 3 alpha, 5 mu, 6 mu et 7 alpha.
Le cas particulier des types du triangle
Reste à trouver à quelle typologie GDS sont associés les types du triangle : l’ennéatype 3, l’ennéatype 6 et l’ennéatype 9. Comment concilier, pour le type 6 par exemple, une préférence pour le centre mental, qui devrait induire une projection du corps en avant, avec la répression de centre, dont on ne sait comment elle se manifeste corporellement ? Quand le centre préféré bascule, il laisse place au centre de support, qui peut être l’émotionnel ou l’instinctif, en fonction de la variante alpha ou mu du type.
Godelieve Denys-Struyf a par ailleurs décrit deux autres typologies de posture : la typologie AL et la typologie PL. Les trois premières chaînes musculaires, PM, AM et PA, sont décrites comme des chaînes de personnalité. Les chaînes AL et PL sont décrites comme des chaînes relationnelles. Elles se combinent avec les chaînes PM, AM et PA. Sur le plan comportemental, elles sont associées respectivement à l’introversion et à l’extraversion. Je n’adhère pas à cette théorie, ayant connaissance d’un contre-exemple et d’aucun exemple. Je propose de rapprocher les typologies AL et PL des ennéatypes du triangle de la manière qui va suivre, en me basant essentiellement sur les similitudes avec les positions de force d’Alan Sheets et Siska Tovey. Contrairement aux rapprochements pour les typologies PM, AM et PA, j’ai moins de certitude sur les hypothèses qui vont suivre.
L’attitude en AL, en repli
L’attitude en AL correspond à une attitude de repli. Elle est la résultante de l’utilisation de la chaîne musculaire antéro-latérale (c’est-à-dire sur le devant et les côtés du corps). Elle est associée à un mode relationnel plutôt introverti caractérisé par une certaine réserve vis-à-vis du milieu environnant.
Dans les positions de force associés aux ennéatypes 3 et 6, on observe une forme de repli du corps au niveau du sternum :
- Pour l’ennéatype 3, les bras sont rapprochés et tendus en avant et la partie supérieure du sternum est soulevée ;
- Dans sa position de force, l’ennéatype 6 utilise sa poitrine comme un tambour, en élargissant la cage thoracique et en soulevant le sternum, sans arquer le dos ni soulever les épaules et en soutenant l’élévation avec le plexus solaire. Les muscles pectoraux sont resserrés.
Position de force de l’ennéatype 3 |
Position de force de l’ennéatype 6 |
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Par ailleurs, nous notons que comme indiqué dans le stage « Ennéagramme : Centres », le 6 dans sa compulsion est connu pour adopter une posture physique de repli sur soi.
L’hypothèse est donc que les ennéatypes 3 et 6, dont le centre préféré (respectivement émotionnel et mental) a tendance à basculer, ont une posture de type AL.
Godelieve Denys-Struyf illustre également des morphologies dites « combinées » :
- La morphologie AL-AM, qui serait donc associée au type 6 de variante alpha ;
- La morphologie AL-PM, qui serait associée au type 3 de variante mu.
L’Attitude en PL, arquée et déployée
Dans la posture dite PL, le corps est arqué et déployé, du fait de l’activité des chaînes postéro-latérales (c’est-à-dire à l’arrière du corps, sur ces côtés).
Cette posture est associée à un mode relationnel plutôt extraverti caractérisé par le besoin de communiquer avec le milieu environnant.
La position de force de l’ennéatype 9 est décrite comme grande ouverte. Les bras remontent, les omoplates se rapprochent de la colonne vertébrale et le haut de la poitrine s’ouvre vers l’avant.
Position de force de l’ennéatype 9 |
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L’hypothèse est donc que l’ennéatype 9, dont le centre instinctif a tendance à basculer, est associé à une posture de type PL.
Benoît Lesage, médecin et formateur en danse-thérapie, évoque cette posture ainsi : « La typologie en déploiement manifeste une ouverture et une disponibilité au milieu, une facilité de mobilité à tous niveaux⁴. » Pour rappel, l’orientation de l’ennéatype 9 est l’acceptation et le soutien. Il ajoute : « Être constamment en déploiement nuit à une certaine qualité d’intériorité, un retour à soi⁴. » Difficile de ne pas penser à la passion de l’ennéatype 9, la paresse psychospirituelle à se connaître.
Godelieve Denys-Struyf illustre également des morphologies dites « combinées » :
- La morphologie PL-AM, qui correspondrait à l’ennéatype 9 de variante alpha ;
- La morphologie PL-PM, qui correspondrait à l’ennéatype 9 de variante mu.
Similitudes entre la philosophie du travail sur les chaînes GDS et celle du travail en ennéagramme des personnalités
Au fil de mes lectures sur les chaînes GDS, j’ai pu constater que les praticiens GDS envisagent le travail avec les chaînes musculaires de manière équivalente au travail qui est mené par les spécialistes de l’ennéagramme. Les similitudes sont regroupées dans le tableau suivant :
Avec l’ennéagramme |
Avec la méthode GDS |
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Il n’y a pas de bon ou de mauvais type. |
Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise typologie. |
Les ennéatypes représentent neuf facettes de l’âme humaine. À chaque ennéatype est associée une compulsion d’évitement. |
Pour Godelieve Denys-Struyf, les cinq chaînes musculaires sont un moyen d’expression par le corps de pulsions psycho-comportementales. |
Si un ennéatype est trop marqué par sa compulsion d’évitement, il s’enferme dans ses schémas et ses automatismes. On parle de désintégration de la personnalité. |
Avec le temps, la prédominance d’une pulsion s’installe. Le déséquilibre est entretenu de façon permanente et de plus en plus marqué. Une chaîne de tension myo-fasciale apparaît qui emprisonne le corps, entrave son adaptabilité et éventuellement devient source de douleurs. (Godelieve Denys-Struyf parle alors de « langage gravé du corps »). |
Le but du travail est de se libérer de ses automatismes pour retrouver une certaine liberté. Il s’agit de rééquilibrer l’usage des trois centres : instinctif, mental et émotionnel. |
Le but du praticien GDS est de rééquilibrer la posture (il dispose d’outils comme le massage, les étirements, les stimulations, etc.). |
Le travail de libération des mécanismes égotiques passe avant tout par l’auto-observation. |
Si le patient ne change rien à l’image qu’il a de son corps et sa façon de l’utiliser, il retombera certainement dans les mêmes schémas de dysfonction. Afin d’éviter cet écueil, la méthode GDS propose un travail dit de restructuration. La base de ce travail consiste à donner au patient des images justes de son corps, pour ainsi renforcer la conscience qu’il en a. |
L’ennéagramme s’adresse aux personnes qui souhaitent mieux se connaître et mieux comprendre les autres, développer la résilience et la compassion, se transformer eux-mêmes et pratiquer le service. |
Dans une certaine forme, le travail sur les chaînes GDS peut s’adresser à toute personne qui souhaite avoir une meilleure connaissance d’elle-même pour mieux se prendre en charge. |
Comme le code d’éthique de l’International Enneagram Association le stipule : « L’ennéagramme est avant tout un outil destiné à la connaissance de soi et à la transformation personnelle. » |
Godelieve Denys-Struyf stipule que : « Les thérapeutes aussi, avant d’effectuer une démarche professionnelle, auront à cœur de faire tout simplement l’expérience d’un travail sur leur personne¹. » |
On notera qu’en ennéagramme, pour équilibrer ses trois centres, il faut commencer par « dégonfler » le centre préféré. Ainsi la place peut être faite pour le développement des deux autres. De façon analogue, Benoît Lesage illustre bien cette notion, prenant l’exemple de la typologie PM, où la priorité est de lâcher la tension associée : « Les hypertonies postérieures emplissent les cabinets de kinésithérapeutes et ostéopathes. En effet, les muscles postérieurs superficiels n’ont pas l’équipement enzymatique adéquat pour soutenir un travail postural de longue haleine. Cette fonction est dévolue aux muscles profonds, la chaîne d’extension axiale vraie (PA), qui dans bien des cas est réduite au repos par la tension superficielle. Ces muscles sont donc fatigables et deviennent vite douloureux. Nombre de lombalgies cèdent dès lors qu’on amène le patient à lâcher ces tensions, ce qui est loin d’être acquis si l’on considère qu’elles sont le plus souvent défensives, à décrypter comme une urgence à faire face, à affronter une situation ressentie comme stressante. C’est toute une éducation qui est ici à entreprendre, la découverte d’un rapport à soi et au corps plus sensoriel, processus dans lequel le travail du poids a toute son importance. Soulignons au passage l’inutilité totale d’une kinésithérapie désuète, qui à cet excès de tension postérieure répond par une musculation antérieure, complétant ainsi la carapace défensive alors que le centre reste fragile et déserté⁴. »
Double intérêt
Si la corrélation entre les typologies GDS et les types de l’ennéagramme était vérifiée, nous y trouverions un double intérêt :
- D’une part, l’ennéagramme des personnalités décrit la psychologie de manière infiniment plus précise que les tendances dégagées dans les grandes lignes par Godelieve Denys-Struyf ;
- Inversement, les personnes menant un travail sur leur ennéatype y verront un moyen d’y associer une pratique corporelle ciblée. De la même manière que nous gagnons du temps à connaître notre ennéatype dans une logique de développement psychospirituel, nous pouvons travailler spécifiquement sur notre corps en fonction de notre tendance posturale.
Questions complémentaires
Si l’hypothèse de corrélation entre les types de l’ennéagramme et les postures GDS pouvait être affirmée, les questions suivantes seraient à élucider :
- Peut-on différencier les postures corporelles des types orientées vers l’intérieur, de celles orientées vers l’extérieur ? Autrement dit, peut-on préciser une attitude PM-5 d’une PM-7, une AM-2 d’une AM-4, une PA-1 d’une PA-8 ?
- De la même manière, peut-on distinguer une AL-3 d’une AL-6 ?
- Comment s’exprime corporellement le centre réprimé, lorsqu’il s’agit du centre mental ou émotionnel ? Autrement dit, peut-on associer une posture spécifique et différenciée aux variantes alpha et mu d’un même type, au-delà de l’hypothèse déjà émise pour le type 9 ?
Un sujet à approfondir
Le sujet reste à approfondir. L’idéal serait de tester l’hypothèse sur un groupe de personnes qui ont une certitude de leur ennéatype. Si vous êtes un praticien des chaînes GDS ou de l’ennéagramme, et que le sujet vous intéresse, vous pouvez me contacter par l’intermédiaire de ce site.
Quand bien même la corrélation proposée s’avérerait fausse, le sujet des chaînes GDS en lui-même devrait intéresser tout adepte de l’ennéagramme. En effet, la démarche en GDS semble être au corps, ce que la démarche en ennéagramme est à l’esprit : « Nos chaînes, nous devons les connaître et apprendre à les reconnaître en nous, uniquement pour pouvoir nous en débarrasser. Loin de nous l’idée d’enfermer la personne humaine dans une classification. L’homme doit être capable de choisir la liberté. En se libérant de ses chaînes et de sa typologie, il cesse d’être une coquille de noix ballottée par les courants pour devenir un navigateur vigilant¹. »
Sources
Livres :
[1] Denys-Struyf, Godelieve. Fondement de la méthode des chaînes GDS. Bruxelles (Belgique), ICTGDS , 2000.
[2] Chabreuil, Fabien ; Chabreuil, Patricia. Le Grand Livre de l’Ennéagramme. Paris (France), Eyrolles, 2008.
[3] Campignion, Philippe. Les Chaînes musculaires et articulaires méthode G.D.S. Aspects Biomécaniques. Notions de base. Philippe Campignion, 2019.
[4] Lesage, Benoît. Jalons pour une pratique psychocorporelle. Toulouse (France), Érès, 2012.
Articles :
[5] Valdenaire, Nicolas. « Les chaînes musculaires et articulaires par la méthode GDS ». L’Ostéopathe magazine, N° 5, Novembre-décembre 2010.
[6] Hurtois Moreels, M.-J. « Chaînes musculaires G.D.S. et psychomotricité, mise en forme posturale ». Thérapie psychomotrice et recherches, N° 104, 1995.
Sites internet :
[7] New Equations, le site internet officiel d’Alan Sheets et Siska Tovey.
[8] Institut des Chaînes Musculaires et Articulaires - Méthode GDS®.
Images :
[9] D., Claire, à l’aide de l’application Easy Pose, d’après les références 1 et 7 ci-dessus.
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