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Type 6 ou type 8 ?


Blanche

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Bonsoir,

 

Fabien, peut-être aurais-je dû écrire mon message "Suis-je bien du type 8 ?" sous la rubrique "Détermination ou validation d'un type" ? Au moment, où j'ai écrit mon premier message, je croyais vivre de la "non-acceptation" de mon type. Aujourd'hui, je doute !

 

J'hésite… J'hésite maintenant entre un "8 avec aile 7" et un "6 avec aile 7".

 

Le hasard n'existe pas ! Ces derniers jours, la vie a fait en sorte que j'obtienne des réponses à mes questions. J'ai pu constater que le doute, la PEUR DU REJET (ce qui m'amène à me justifier continuellement et à rechercher l'approbation des autres) m'habitent profondément.

 

J'aurais deux (2) questions :

 

- Un "type 6" peut-il être excessif ? Peut-il être impulsif ? Peut-il être colérique, agressif, autoritaire, opposant, égoïste ?

 

- Si oui, comment peut-on OSER se comporter de la sorte alors que l'on vit AVEC la PEUR d'être rejeté ? N'y a-t-il pas là un danger d'être rejeté avec de tels comportements ? N'est-ce pas contradictoire ?

 

Merci de votre bonne attention.

 

Bonne soirée

Blanche

Blanche (E6 mu, sous-type force/beauté)

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Bonjour Blanche

 

Quel plaisir de vous retrouver là :-).

 

Mon point de vue de "6" est le suivant et n'engage que moi bien sûr.

Oui, je peux être excessif, oui je peux être impulsif et oui je peux être colérique.

Je suis marié à une personne fonctionnant comme un 8. Nos colères sont "homériques", cela ressemble à un combat de colosses et lorsque l'occasion se présentait tout le monde autour de nous s'enfuyait ! ;-). De part et d'autre, des "objets" volaient dans tous les sens ; pour moi, ces objets pouvaient être des assiettes et pour mon épouse, des mots terriblement blessants.

 

La différence n'est pas dans le "visible" de la colère, mais dans la motivation.

 

Moi, je me mettais en colère parce que je me sentais agressé ou envahi. Je dis bien "je me sentais" agressé et non pas "j'étais" agressé.

La nuance est importante dans la mesure où je suis très bien capable (et doué) pour projeter (en d'autres termes pour ne pas les reconnaître) mes angoisses sur ma partenaire et de l'agresser pour éviter de l'être. C'est le cabot, heu . . . non, le beau grand chien plutôt qui attaque pour ne pas être attaqué :-))).

Je n'aime ni gagner, ni perdre. Si je gagne, je me sens exposé à une revanche, et si je perds, je me sens humilié et j'ai envie de me venger, mais sournoisement (c'est vilain hein ;-))).

 

Mon "8" se met en colère quand elle est réellement agressée (par moi par exemple) ; parce que c'est fort, elle se sent vivre, le sang lui fouette les sens, les réveille et les émoustille. Et puis c'est tellement excitant, enivrant, etc., etc.

Et puis après, on s'assied et on se félicite de la belle victoire ou du beau dépôt d'armes, comme Clovis rendant les armes à César ; avec honneur et respect de la belle victoire du vainqueur.

Mon épouse 8 est fière de la victoire, mais ne se sent pas amoindrie par un échec "si la bataille était belle".

 

Voilà Blanche deux manières fort différentes de pouvoir se mettre en colère, non ?

 

Tu dis aussi : "Si oui, comment peut-on OSER se comporter de la sorte alors que l'on vit AVEC la PEUR d'être rejeté ? N'y a-t-il pas là un danger d'être rejeté avec de tels comportements ? N'est-ce pas contradictoire ?"

 

Oui, c'est très contradictoire . . . mais en apparence ;-)

 

Ne t'approche pas trop d'un animal qui a peur, qui se sent agressé et acculé. Il pourra se jeter sur toi avec l'énergie du désespoir. "L'énergie du désespoir" est une expression qui a du sens pour moi et "se jeter dans la gueule du loup" aussi.

 

Blanche, je te souhaite bonne lecture

Philippe vdv

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Fabien Chabreuil

Bonjour Blanche,

 

Comme Philippe, je suis content de te retrouver là. Comme je te le disais dans mon message du 18 mars, la peur (le doute) et le souci de l'opinion des autres étaient trop présents et trop exprimés dans tes messages pour que le type 8 soit très vraisemblable.

 

Bravo d'avoir su utiliser les témoignages de Sophie et les événements de ta vie pour en prendre conscience.

 

A tes deux questions, je n'ai rien à rajouter à la réponse de Philippe ; j'aurais dit la même chose, mais de manière théorique c'est-à-dire beaucoup moins bien.

 

Merci à tous. J'espère que cet échange passionnant va se prolonger.

Très cordialement,

Fabien

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Bonjour à tous,

 

Je suis contente de lire les nouveaux messages et de constater que la discussion va bon train, c’est tellement enrichissant de tous vous lire. Il y a une belle dynamique sur ce site qui est très aidant.

 

J’ai trouvé un petit paragraphe dans un de mes livres d’Ennéagramme, qui pourrait peut-être aider Blanche dans ses questionnements entre le type 6 ou 8.

 

« Souvent, le HUIT risque d’être pris pour un SIX contre-phobique. Vus de l’extérieur, les deux types sont effectivement très semblables. Cependant, les agressions du SIX naissent dans sa tête et sont l’expression d’une peur par rapport à laquelle il cherche à prendre les devants. L’agression du HUIT, en revanche, naît du ventre et se dirige contre tout ce que le HUIT perçoit d’hypocrite et d’injuste».

 

Sophie

Montréal

Sophie

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Marie-Hélène

Bonjour Blanche, Fabien, et tous les autres «acteurs» de ce panneau…

 

D’abord, je voulais signifier que je suis toutes les conversations avec un grand intérêt et surtout un empressement évident à vouloir répondre. Vos conversations m’inspirent énormément mais je n’ai pas eu le temps (j’en ai besoin de beaucoup lorsque je commence à écrire) de réagir aux différentes discussions. Mais voilà, enfin, j’y suis moi aussi, et j’espère que cela pourra vous aider, Blanche.

 

Ce message a été commencé il y a quelques jours, suite à votre message du 22 mars, paru dans la discussion «Suis-je bien de type 8 ?». (J’espère qu’il sera toujours d’actualité). À ce moment-là, je ne savais pas trop de quelle manière vous répondre. Avec les interventions qui ont été faites jusqu’à maintenant, je me sens maintenant plus à l’aise de poursuivre. Il faut dire que l’opinion de Fabien a confirmé la mienne alors je me sens plus en confiance maintenant…

 

Voilà, une petite comparaison : je «suis» de type 6 et une de mes collègues «est» de type 8. De plus en plus, nous avons l’occasion de travailler ensemble dans différents contextes : scolaire (études), para-scolaires (organisation d’un colloque) et professionnels (stage d’enseignement). Grâce à l’Énnéagramme, je peux envisager nos différences et nos ressemblances sous un angle très éclairant… Peut-être que vous faire part de quelques-unes de mes observations pourra alimenter votre réflexion…

 

Nous sommes toutes deux leaders, mais nous avons des forces et des faiblesses très différentes.

Je dis qu’elle est forte, mais je la sais fragile. Elle dit que je suis sensible, mais je crois qu’elle me sait forte.

Je suis présidente du colloque, elle est vice-présidente. Je prends le poids des responsabilités et elle me guide et me soutient quand j’ai des doutes.

Avec ses élèves, elle a peur d’être trop sévère et doit faire des efforts pour être conciliante. Avec mes élèves, j’ai peur d’en laisser trop passer, de perdre le contrôle et d’aboutir à une violente colère.

Elle se dit violente, mais je ne l’ai jamais vu perdre le contrôle. Elle est très calme extérieurement. Je me dis impressionnable, mais je perds souvent le contrôle. Je suis très nerveuse.

Elle peut dire une parole blessante, intentionnellement, car elle décide de ses actes. Je peux dire une parole blessante, mais sous le choc de l’émotion, j’agis de manière contre-phobique.

Elle est pratique et dit «avec toi c’est toujours compliqué». Je suis théorique et je trouve qu’avec elle, tout est catégorique.

Elle est très loyale. Je suis très loyale. Elle respecte son patron. Il lui apporte son gagne-pain. Je suis loyale face à mes professeurs, ils sont mes «modèles».

Elle est rancunière et connaît la haine. Je suis révoltée et connais la peur.

Elle est intuitive. Je suis logique.

 

Cette liste pourrait être très longue, remplie de comportements et de motivations semblables ou contradictoires. Évidemment, je caricature nos ressemblances et nos différences mais maintenant que je connais une personne de style 8, je vois à quel point le 8 et le 6 peuvent être différents. (voir petit paragraphe dans le message de Sophie ;-)

 

Par ailleurs, vous avez dit (toujours dans le message du 22 mars) «Je me suis reconnue dans les descriptions de certains "6" sur les panneaux de discussions, mais peu ont parlé de colère, d'agressivité, d'excès, de réactions brusques. Les "6" sont-ils souvent en réaction ?» et dans votre dernier message vous demandiez encore : «Un "type 6" peut-il être excessif ? Peut-il être impulsif ? Peut-il être colérique, agressif, autoritaire, opposant, égoïste ?»

 

Je ne peux certes pas parler pour tous les 6. Mais ce que vous dites… ça parle pour moi… En réalité, ces aspects de la personnalité du 6 n’ont jamais vraiment été abordés dans les discussions, mais pourtant, je sais que ce peut être un aspect très présent de sa personnalité.

 

Excès

Je suis encore jeune, je n’ai pas la sagesse de l’expérience sans doute, mais les excès, ça me connaît. Une semaine durant, je suis impossible à sortir des livres, j’étudie, je fais mes travaux, je passe des nuits blanches à travailler sur l’ordinateur, sans manger, sans sortir. Puis, la semaine d’après, c’est la fête, je laisse tout tomber, je fuis les responsabilités, je sors, je festoie, je me couche aux petites heures, je ne fais plus rien (ça c’était hier…).

Excessive, sûrement que je le suis. Fabien a déjà parlé de mon auto-observation en termes de boulimie… effectivement, c’est bien le cas… J’ai beaucoup de difficulté à agir calmement… Je conduis vite, je mange vite, je suis très impulsive. Un jour, je devais sortir avec des amis, je regardais dans ma garde-robe : aucun de mes vêtements ne me plaisait. J’étais enragée parce que je n’avais rien à me mettre. «Ah! j’en ai marre… je vais m’acheter des vêtements». Alors j’ai mis mon manteau et je suis partie, comme ça.

J’ai énormément de difficulté à me contrôler. Parfois je trouve que je suis paresseuse parce que je ne fais pas l’effort de m’imposer des limites. Je suis tout à fait impatiente et même un peu (euphémisme) capricieuse. Quand je décide que j’ai quelque chose dans la tête, bon ou mauvais, je suis comme un taureau qui fonce tête baissé vers mon objectif.

 

De la colère à la peur

Un de mes pires défauts est que je me sens très facilement attaquée. Je réagis souvent mal à la critique ou aux commentaires négatifs et alors j’attaque à mon tour. Mais c’est inconscient. Quand ça arrive, je ne m’en rends pas vraiment compte. Maintenant je le vois davantage, mais même quand je m’en rends compte, c’est plus fort que moi, il faut absolument que je dise «oui, mais, non, mais…». Je me justifie constamment et quand je me mets en colère, je perds le contrôle de moi-même.

Mais souvent, quand je m’enrage, c’est que j’ai refoulé quelque chose. J’attends, j’attends, et à un moment ou à un autre, j’explose. Je peux réfléchir et analyser des situations, des personnes, des événements à n’en plus finir, ou être soudainement très spontanée et réagir sans réfléchir. Ça dépend vraiment. Les contradictions, ça fait partie de ma vie quotidienne. Je suis toujours tiraillée intérieurement. Je veux être indépendante et faire mes trucs, avoir la paix. Mais je veux aussi être active dans ma communauté et dans mon groupe d’appartenance.

 

J’ai été souvent en colère ces derniers temps et j’ai essayé d’observer la cause de mes frustrations. Je me rends compte que c’est de la révolte que j’éprouve intérieurement, souvent contre ceux qui ne font pas ce qu’ils devraient faire. La première fois que j’ai écris sur ce site, je disais : «je donne, mais moi, j’ai l’impression de n’être jamais satisfaite». C’était une erreur de formulation. J’aurais dû écrire : «Moi, je fais l’effort de… mais les autres, eux, ne font pas ce même effort». Ça me révolte quand je suis loyale, respectueuse, à mon affaire et que je vois les autres ne pas agir de la même façon. Je fais mon devoir… conscience sociale, professionnelle, humaine… j’essaie d’être honnête et transparente dans mes actes (on ne l’est jamais tout à fait), mais parfois je suis profondément déçue par les autres. Souvent, j’essaie de faire plaisir à tout le monde et je me néglige et au fond je me sens négligée par les autres. C’est là que je me sens abandonnée, seule : quand j’ai tout donné et que je me rends compte que les autres ne sont pas prêts à s’investir autant. D’ailleurs, pourquoi tant d’efforts si ce n’est pas en quelque sorte pour éviter l’abandon d’autrui… Je pense à tout le monde, mais parfois, ce n’est que pure projection de mes désirs égoïstes d’être prise en charge. Je veux que l’on s’occupe de moi, alors je m’occupe des autres. Plus le temps file, plus je réalise que mes mécanismes de défenses sont ancrés très profondément en moi.

 

En remontant encore plus loin, je pense qu’inconsciemment, j’agis constamment pour être aimée, respectée, populaire. En même temps, tout cela, je le fais dans l’espoir de devenir une meilleure personne, d’aider le monde, de faire mon devoir quoi ! Les motifs ne sont pas simplement égoïstes : je sais que je peux agir avec le désintéressement le plus sincère. Mais parfois, j’ai tellement peur que l’on ne m’aime pas pour ce que je suis, tellement peur que seules mes performances puissent m’attirer l’amour des autres. Je suis totalement dépendante de la perception que les autres ont de moi. Mon estime est entre les mains du public. Applaudira-t-il, huera-t-il ? Si je fais un bon coup, voilà, c’est dans le sac. Mais si je me trompe, alors, je pense que je ne suis qu’une perdante, bonne à rien. J’ai vraiment le sentiment que je fais tout pour «paraître» correcte, parce que j’ai peur que mon «être» lui, ne le soit pas. Je sais que c’est la peur de ne pas être à la hauteur qui me rend agressive. Ma réputation. Mon honneur. Ma dignité. Je fais tout pour être un noble serviteur de la vérité, mais alors, je me perds. C’est vrai, je suis perdue à travers ce qu’il «faut» faire. Je m’oublie et je cherche le réconfort chez l’autre, mais je ne suis pas en mesure de m’aimer vraiment, telle que je suis, avec mes défauts et mes qualités, même quand je ne peux pas tout réussir à la perfection.

C’est très exigeant et frustrant de vivre ainsi avec soi-même, de s’en demander autant. Surtout, ce l’est quand on projette cette même exigence chez l’autre et que l’on se rend compte qu’il ne sera jamais aussi attentionné, fiable, aimable qu’on le souhaiterait. Je pense que je nourris encore l’utopie de penser que les gens, et moi-même, seront conformes à mes désirs. Il faut, il faut, il faut. Je dis tellement souvent il faut que ça m’épuise.

 

«Il faut que je mange mieux. Il faut que j’étudie plus. Il faut que je travaille sur moi-même, que je sois plus tolérante, que je sois moins égoïste. Il faut que j’accepte plus les autres, que j’écoute ; il faut que les autres m’écoutent aussi. Et il faut que je me surveille car j’ai dis que je voulais que les autres m’écoutent… C’est important. S’il fallait que je ne les écoute pas moi-même… Il ne faut pas que je me fasse prendre à faire le contraire de ce que j’ai dis que je ferais, il faut que je m’assure de respecter ma parole. Il faut au moins que je fasse ce que je souhaite que les autres fassent. Il faut que j’arrête de dire il faut. Il faut que je fasse plutôt que de dire et penser. Il faut que j'agisse, que je cesse de penser… car je sens monter cette impatience, cette colère inhérente au sentiment d’impuissance face au défi insurmontable, cette impression d’aliénation de l’être, d’emprisonnement du paraître, d’abandon de soi. Lâcher prise. Parfois, il faut lâcher prise… Je viens de dire il faut…

 

En espérant que ce long témoignage sera porteur de lumière.

 

Marie-Hélène

Chicoutimi (Québec)

Marie-Hélène, E6 alpha, aile 7, conservation

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Bonjour Marie-Hélène ;-)))

Il faut que je te dise que tu es adorable, heu non, . . . que vous êtes adorables. Quel plaisir de vous relire à nouveau.

Votre prose est pour moi du petit lait, je m'en délecte les babines, j'en rebois et rebois encore.

Tout cela baigne dans une douce euphorie, dans un lieu, un endroit ou enfin je pourrais déposer les armes et me reposer sans crainte quelques temps.

Tout ce que vous dites Marie-Hélène, je pourrais le dire aussi tellement que "ça" me parle.

Mon épouse et moi-même sommes en train de nous séparer. Je suis envahi par une peur indescriptible d'être abandonné et je m'accroche à des détails les plus infimes pour alimenter mes peurs. Je ne vois que le pire, que le mauvais. Bref pour tenter de m'en sortir, je n'arrête pas de me dire des "il faut que" à tours de bras. Il faut que je m'en sorte, il faut l'aider à partir, qu'elle trouve une nouvelle maison… mais d'autre part j'ai aussi l'impression de travailler contre moi, contre mes intérêts. C'est très très confus dans ma petite tête.

A bientôt

Philippe

Philippe vdv

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Marie-Hélène

sourire timide…

 

vous pouvez me tutoyer… euh… tu peux me tutoyer…

 

au-revoir

 

Marie-Hélène

Marie-Hélène, E6 alpha, aile 7, conservation

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Bonjour Philippe, Fabien, Sophie, Marie-Hélène,

 

Je vous remercie, vos interventions sont pour moi très éclairantes. Je vous ferai part sous peu du résultat de mes réflexions et observations.

 

Ces recherches et lectures intenses me bouleversent un peu. Elles soulèvent en moi des émotions que je ne peux nommer pour l'instant (je soupçonne que mes émotions étaient "gelées"). Et que d'efforts je déploie, afin de consacrer tout mon temps de travail à mes tâches ! Mon esprit reste accroché à l'Ennéagramme. C'est fou, n'est-ce pas ? Et vous, avez-vous déjà connu quelque chose de semblable ?

 

Deuxième question : j'ai beaucoup de difficulté à saisir la compulsion "D'EVITER LA DEVIANCE". Comment cette compulsion se traduit-elle dans la vie de couple ? Dans la vie de famille ?

 

Je demeure dans l'attente de vos réponses.

Un gros "MERCI"

Blanche

Blanche (E6 mu, sous-type force/beauté)

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Fabien Chabreuil

Bonjour Blanche,

 

Juste un petit mot en passant. Le sens de la compulsion du 6, "Éviter la déviance", a été traité dans de nombreuses discussions. Si tu utilises la fonction "Recherche", tu trouveras une dizaine de références.

 

Bien entendu, si les informations déjà données sur le panneau ne te suffisent pas, discutons-en.

 

Très cordialement,

Fabien

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Bonjour Fabien,

 

Merci pour l'information. Quels outils merveilleux ! La plupart des volumes que j'ai lus sur l'Ennéagramme ne m'appartenaient pas. J'étais un peu mal à l'aise de les RE-emprunter pour une "Xième fois".

 

Ce merveilleux site, accessible à tous, qui permet d'échanger et d'acquérir de l'information, d'approfondir des connaissances, d'être guidé et d'évoluer dans le respect et au rythme de chacun et tout cela "gratuitement". Quelle GRANDE générosité ! Voilà, je tenais à vous faire part de ma grande reconnaissance.

 

Au revoir et à bientôt,

Blanche

Blanche (E6 mu, sous-type force/beauté)

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